Coup de projo sur... Zakia Khattabi

1. Caricature Zakia
Publié le 23 mars 2011
Rédigé par 
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Quelles fonctions occupes-tu à la locale et au sein d’Ecolo en général ?

Militante d’abord ! Et puis, à la locale : secrétaire politique ; chez Ecolo en général : députée bruxelloise et à la Communauté française, Sénatrice de Communauté.

J’investis aussi beaucoup l’interne, je participe ou anime diverses commissions, je participe à différentes dynamique de formation et d’éducation permanente d’Etopia ça me permet de partager et confronter mes analyses


1. Caricature Zakia

Pourquoi milites-tu chez Ecolo en général, et à Ixelles en particulier ?

Je me suis engagée car je voulais apporter une nouvelle dimension à mes engagements citoyens. J’étais active sur le terrain de l’égalité des chances, de l’aide à la jeunesse, de l’intégration, des questions de justice sociale et des rapports nord-sud… Bref, je me suis retrouvée à un moment confrontée aux limites de l’exercice de ce type de militance, la décision finale n’appartenant pas au monde associatif. J’ai donc voulu prolonger celle-ci par une dimension plus politique et clairement partisane. C’est tout naturellement vers Ecolo que je me suis tournée parce que l’écologie politique est un projet de société global. Global et progressiste. Et c’est Ecolo qui le porte le mieux.

Depuis quand habites-tu à Ixelles, et pour quelle(s) raison(s) as-tu choisi cette commune ?

Il y a un peu plus de dix ans, pour rejoindre mon amoureux.

Parle-nous de ton quartier : qu’est-ce que tu y apprécies, qu’est-ce qui devrait être changé/amélioré ?

J’habite dans le quartier Flagey. J’y apprécie la facilité d’accès, la proximité de hauts lieux de la culture bruxelloise ;-), la diversité sociale et culturelle du quartier. Bref, c’est mon village ! Même s’il faudrait rendre plus attractif/dynamiser le dernier tronçon de la chaussée d’Ixelles (entre Fernand Cocq et Flagey).

Tu deviens bourgmestre demain : quelle est ta première décision ?

J’active ou réactive, là où ils existent, les dispositifs de participation citoyenne et incite à en créer là où ils n’existent pas.

À Ixelles, où peut-on te croiser ?

Je ne suis pas attachée à des lieux, mais à des gens. On me trouve donc là où je retrouve les gens que j’aime.